Nous avons été parmi les premiers à annoncer la démission de Michel Caillat, maire d'Istres, et la candidature consensuelle de
Nicole Joulia suite à ce qui pourrait être interprété comme une
motion de défiance de la majorité municipale de gauche plurielle. Ce faisant, Michel Caillat relègue au second plan les
échéances nationales. Il motive sa démission par l'impossibilité dans laquelle il se trouverait d'exercer ses fonctions. Il est regrettable qu'il ait mis quatre ans à s'en rendre compte d’autant que cela coïncide avec le
retour en politique de François Bernardini, son mentor de jadis.
A lire : la "chronique d'une fuite annoncée" que nous livre la plume de
François Bernardini dans son blog.Dernière minute: dans la page d'Istres du quotidien
"La Provence" de ce jour, Michel Caillat, en réponse à une interview de Charles Robotti, déclare: "mon bureau n'est pas une annexe de l'ANPE". Les chômeurs apprécieront.